Pibrac

Pibrac n'a pas bougé, Ste Germaine a surveillé de sa majestueuse basilique, le départ de la rando. Les chênes lièges, pourtant curieux comme des vaches regardant passer les trains, nous ont ignorés, un nid de frelons asiatiques haut perché sur son peuplier dénudé n'a pas d'avantage prété attention à nous, tristesse, nous avons passé notre chemin le dos courbé. Après quelques centaines de mètres sur le sentirer gravillonné mais odorant ( mal ) nous avons passé le pont sur l'Assonne, et retrouvé nos chemins boueux, joie de tous, enfin dans notre élément, glissades, rigolades et remarques désobligeantes à l'encontre d'Emilie notre précieuse lumière des sentiers !! La routine quoi.

J.R.